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empire

24 août 2008

le vététiste Julien Absalon tient son rang

Par Jean-Paul Couret Reuters - Samedi 23 août, 19h01

PEKIN (Reuters) - Julien Absalon a maîtrisé tous les pièges, cailloux, crevasses, arbres au milieu de la piste et chaleur torride pour entrer dans le club très fermé des athlètes français qui auront tenu leurs promesses au Jeux de Pékin.

champion olympique de VTT cross-country à Athènes, il a récidivé samedi à Pékin au terme d'une échappée solitaire lancée dès le début du deuxième tour du circuit de Laoshan et menée jusqu'au huitième et dernier passage sur la ligne.

Avec l'aide de Jean-Christophe Péraud, médaillé d'argent, celui que certains surnomment "Absalor" a offert à la France son second doublé des Jeux 2008.

L'autre avait été réalisé la veille par d'autres adeptes d'un cyclisme "alternatif", le BMX, Anne-Caroline Chausson et Laëtitia Le Corguillé.

"Je pense que c'était une course bien menée. Je ne me suis pas échappé à la fin du premier tour pour humilier mes adversaires, je n'avais rien à prouver. Je l'ai fait parce que sur ce genre de circuit, il faut tout faire pour être devant", a-t-il dit.

"Je ne fais pas ça pour la gloire ou la télé. Je le fais surtout pour notre sport", a-t-il ajouté en n'excluant pas de viser la passe de trois - toujours inédite pour un athlète français - à Londres. "Quatre ans, ça passe très vite", a-t-il dit.

Péraud, qui ne se donnait "pas dix pour cent de chances de faire une médaille", a accueilli sa deuxième place comme "un aboutissement".

"Une médaille d'argent derrière Julien Absalon (...) pour moi, ça vaut de l'or", a-t-il ajouté.

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DJELKHIR SONNÉ

Le boxeur Khédafi Djelkhir repartira lui aussi de Pékin avec une médaille d'argent. Il n'a pu convertir ce trophée en or car il est tombé sur plus fort que lui en finale des poids plume.

Opposé à l'Ukrainien Vasyl Lomachenko, il est ressorti du ring sonné, moins de deux minutes après le début du combat.

"Oui, j'ai vraiment été surpris par sa vitesse. Il mérite sa victoire", a-t-il dit.

La médaille de bronze du jour est venue de Marie Delattre et Anne-Laure Viard en kayak biplace sur 500 mètres. Elles n'ont raté la médaille d'argent que de trois centièmes.

"Comme toutes les médailles, celle-ci récompense les sacrifices de l'entraînement par tous les temps", a dit Viard.

Toujours sur 500 mètres, toujours avec des pagaies, mais en canoë monoplace, ce sont trois dixièmes de seconde qui ont manqué à Mathieu Goubel pour monter sur le podium.

Les autres défaites françaises ont été plus nettes.

Vincent Lecrubier et Sébastien Jouve ont terminé septièmes de la finale du 500 mètres en kayak biplace.

En taekwondo, Mickaël Borot, remplaçant de Pascal Gentil au pied levé à quelques jours du début des Jeux, a été battu au premier tour de la catégorie des plus de 80 kg.

Laurence Leboucher, spécialiste de cyclo-cross revenue sur sa décision de prendre sa retraite pour participer à 36 ans à ses quatrièmes Jeux olympiques en VTT cross-country, a fini 17e.

A la veille de la cérémonie de clôture, la France occupait la 12e place du tableau des médailles avec 38 récompenses, mais seulement six d'or.

Champion olympique de VTT cross-country à Athènes, il a récidivé samedi à Pékin au terme d'une échappée solitaire lancée dès le début du deuxième tour du circuit de Laoshan et menée jusqu'au huitième et dernier passage sur la ligne.

Avec l'aide de Jean-Christophe Péraud, médaillé d'argent, celui que certains surnomment "Absalor" a offert à la France son second doublé des Jeux 2008.

L'autre avait été réalisé la veille par d'autres adeptes d'un cyclisme "alternatif", le BMX, Anne-Caroline Chausson et Laëtitia Le Corguillé.

"Je pense que c'était une course bien menée. Je ne me suis pas échappé à la fin du premier tour pour humilier mes adversaires, je n'avais rien à prouver. Je l'ai fait parce que sur ce genre de circuit, il faut tout faire pour être devant", a-t-il dit.

"Je ne fais pas ça pour la gloire ou la télé. Je le fais surtout pour notre sport", a-t-il ajouté en n'excluant pas de viser la passe de trois - toujours inédite pour un athlète français - à Londres. "Quatre ans, ça passe très vite", a-t-il dit.

Péraud, qui ne se donnait "pas dix pour cent de chances de faire une médaille", a accueilli sa deuxième place comme "un aboutissement".

"Une médaille d'argent derrière Julien Absalon (...) pour moi, ça vaut de l'or", a-t-il ajouté.

DJELKHIR SONNÉ

Le boxeur Khédafi Djelkhir repartira lui aussi de Pékin avec une médaille d'argent. Il n'a pu convertir ce trophée en or car il est tombé sur plus fort que lui en finale des poids plume.

Opposé à l'Ukrainien Vasyl Lomachenko, il est ressorti du ring sonné, moins de deux minutes après le début du combat.

"Oui, j'ai vraiment été surpris par sa vitesse. Il mérite sa victoire", a-t-il dit.

La médaille de bronze du jour est venue de Marie Delattre et Anne-Laure Viard en kayak biplace sur 500 mètres. Elles n'ont raté la médaille d'argent que de trois centièmes.

"Comme toutes les médailles, celle-ci récompense les sacrifices de l'entraînement par tous les temps", a dit Viard.

Toujours sur 500 mètres, toujours avec des pagaies, mais en canoë monoplace, ce sont trois dixièmes de seconde qui ont manqué à Mathieu Goubel pour monter sur le podium.

Les autres défaites françaises ont été plus nettes.

Vincent Lecrubier et Sébastien Jouve ont terminé septièmes de la finale du 500 mètres en kayak biplace.

En taekwondo, Mickaël Borot, remplaçant de Pascal Gentil au pied levé à quelques jours du début des Jeux, a été battu au premier tour de la catégorie des plus de 80 kg.

Laurence Leboucher, spécialiste de cyclo-cross revenue sur sa décision de prendre sa retraite pour participer à 36 ans à ses quatrièmes Jeux olympiques en VTT cross-country, a fini 17e.

A la veille de la cérémonie de clôture, la France occupait la 12e place du tableau des médailles avec 38 récompenses, mais seulement six d'or.

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24 août 2008

La bonne nouvelle

La valise diplomatique

  : Ajouté le 18/8/2008 à 08:34 PM

lundi 18 août 2008

Au Pakistan, l’ère Moucharraf a pris fin

L’issue semblait fatale. Le président Pervez Moucharaff a dû présenter sa démission, le 18 août, six mois après les qui ont consacré la victoire de l’opposition menée par Parti du peuple pakistanais (Pakistan peoples party, PPP) de feu Benazir Butho et la Ligue musulmane (Pakistan muslim league, PML). Sous le coup d’une procédure d’« impeachment » pour cause de violation de la constitution, le général-président a préféré partir, après avoir tenu une longue Maroc annonces

. Il a réfuté les accusations dont il est l’objet et a fustigé ses opposants : « Ils ne réalisent pas que, même s’ils ont gagné, ils vont conduire le pays à l’irréparable (…). Je laisse mon avenir entre les mains du peuple. » Alors que la presse américaine avait, à maintes reprises ces derniers jours, annoncé sa démission et son exil, M. Moucharraf a affirmé sa volonté de rester dans son pays. Arrivé au pouvoir en 1999 à la suite du coup d’Etat qu’il avait initié, l’ex-président espère-t-il reprendre un jour la main, après sa défaite d’aujourd’hui ? L’administration de M. George W. Bush, qui l’avait soutenu jusqu’au bout, l’a finalement lâché.

Attendu depuis plusieurs semaines, ce départ ne règle pas pour autant les problèmes externes (le conflit avec l’Inde pour le

où les incidents se multiplient, les rapports avec  qui, à la suite des Etats-Unis, accuse Islamabad de protéger des groupes islamistes). Pas plus qu’il ne résout les problèmes internes, qu’il s’agisse des mouvements séparatistes au

des questions sociales et annonces maroc

ou du rôle économique (et politique) joué par

Pour l’heure, l’armée semble rester en dehors. M. Asif Ali Zardari, le veuf de Benazir Bhutto et principal dirigeant du PPP, ainsi que M. Nawasz Sharif, de la Ligue musulmane, vont entamer des négociations pour déterminer qui remplacera le président, le poste de premier ministre étant occupé par M. Youssouf Raza Gilabi, qui appartient au PPP.

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